Les consultants servent-ils à quelque chose ?

Le « Per diem », c’est fini, par Toutatis !

• Comment faire des écosystèmes de nouveaux lieux de création de valeurs ?
• Comment participer à la réinvention d’un monde économique, social, humain, relationnel qui serait fondé sur le respect de l’autre, de sa culture et de son intégrité, sur de nouvelles formes de solidarités et de collaboration, de nouveaux contrats de confiance.
• Quelle doit être la place de l’entreprise dans la société ? Lieu d’asservissement, de contraintes, de productivité ou bien lieu d’apprentissage, de créativité, d’épanouissement ?
• Les trois transformations futures du métier de consultant :
  • Le passage du conseil à l’investissement (acteur de business)
  • Le passage du principe de restitution (obligation de moyen) aux enjeux de production de contenu (obligation de résultat)
  • Le passage de la demande d’accompagnement à la mise en place rapide de processus originaux d’innovation et de formation-action sur la durée

Le consultant, demain, ferra émerger et développera ces nouvelles logiques de création de valeurs :

• En s’impliquant plus largement, de l’amont à l’aval, auprès de ses clients, des plates formes intégratrices d’idées nouvelles à l’engagement financier ou sa facilitation
• En dépassant l’effet miroir, et somme toute distant, de l’écoute active pour atteindre la mise en scène, la réalisation, la fabrication, la transformation des conseils en objets ou événements
• En sublimant la mise en œuvre du changement de plus en plus exigée sur la durée, comme garantie à minima, assurance dommage, SAV du conseil, par le rethinking des principes éducatifs jusqu’au reenginiering des processus et des modes de formation, de transfert de connaissance et d’expériences, des pratiques sur le terrain, de développement et d’enrichissement des individus et des groupes.

Photo : © Nicolas Rousseaux